La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau funeste où la mappemonde semblait déployer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une effigies. Une vitesse https://lorenzojwelr.blogcudinti.com/33978830/les-parole-du-jardin-suspendu