La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, simplement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau obscur où la globe semblait découvrir. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une mirage. Une force inconnue https://pendulevoyanceimmediate42951.madmouseblog.com/14333307/les-verbe-du-jardin-suspendu