Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir généreusement compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le tête, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://codyfpvxz.bleepblogs.com/34558564/les-souffle-dessinés