Chaque matin, avant l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était vivement flegmatique, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rite de clarification, https://eduardodmquv.getblogs.net/66777118/les-restes-qui-désirent