Les nuits à la station patagonienne étaient glaciales, chargées de silence et d’une lumière bleutée venue d’étoiles beaucoup proches. Sayen se tenait à intervalles réguliers destinées à les fenêtres panoramiques du laboratoire, adoptant la voûte paradisiaque par exemple si elle s’adressait immédiatement à lui. Chaque multitude avait sa tonalité, sa https://reidlesen.therainblog.com/33191680/le-sang-des-pléiade